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Z-L’adolescent, le théatre et le feu ; scènes d’un Acte

Sur les adolescents : Marie Jejcic et Hervé Bentata



Séminaire qui aura lieu le troisième Mercredi du mois à partir du mois d’octobre de 11h 30 à 13 h, hôpital Delafontaine de Seine Saint-Denis.

2 rue du Docteur Delafontaine Hermes Jewelry 93200 Saint-Denis à la salle Polyvalente.

Ce séminaire s’adresse aux jeunes psychologues, médecins psychiatres et tous les intervenants interessés par la psychanalyse avec les adolescents. .

Argument : Notre société ne propose plus guère aux adolescents de symbolisations susceptibles de rendre compte du "passage", disait Montaigne (repris par Jean-Jacques Rassial) ou de la métamorphose, indiquait radicalement Freud, de l’enfance à l’âge adulte. En conséquence, ce qui du passage adolescent ne peut plus, comme hier, se déployer dans le temps, paraît faire irruption dans l’espace du réel, avec les questions posées par les passage à l’acte. Nous proposons de considérer comment l’absence d’un lieu pour le sujet, le soustrait à ce qui était hier un temps, et le précipite dans l’errance. Par exemple, en Seine-Saint-Denis, ce peut être une question adressée à des familles, souvent émigrées ayant perdu leurs repères culturels. L’espace adolescent serait alors ces lieux clos et nommables : banlieues, hôpitaux, centres fermés d’éducation, comme autant de scènes qui tenteraient de contenir les débordements d’un âge confronté à la Société, laquelle Société serait à définir comme extériorité puisque, selon la remarque de Deleuze, contrairement au temps, replica watches For Sale
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Cheap Fake Watches l’espace travaille l’homme de l’extérieur. Le débordement, pris au pied du mot, signalerait alors une topologie du nouage adolescents-société que nous considérerons. Ainsi, la violence adolescente, le feu de son action, serait à interroger dans la dimension d’acte qu’elle sous-tend et tentative de trouver des bords plus encore qu’une limite. Passages à l’acte ou actes ne traduisent-ils pas l’ultime volonté de se rattacher à un ensemble où l’adolescent ne se sent pas inclus ? Ce séminaire sera l’occasion de travailler l’acte entre jouissance et désir, d’un sujet aux prises avec l’angoisse. Occasion aussi d’interroger l’espace comme interface capable d’accueillir ces actes. En ce sens, le théâtre proposerait son espace scénique comme lieu potentiel d’une catharsis qu’il conviendra alors d’interroger au regard des cas cliniques auxquels nous sommes confrontés.